vendredi 30 janvier 2009

D-Day.

Aujourd'hui c'est un grand jour.
Je presente mes resultats de Feasibility auX chefS.
Ils decideront a la fin de la reunion si on continue ce projet en ajoutant des ressources et surtout des fonds ou si on le kill.
Je sais pas a quoi ca correspond dans le public, j'y suis pas reste assez longtemps...
En meme temps, je connais deja le resultat, mes resultats preliminaires ayant deja fait le tour de la division. Je sais ce qu'on va me dire a la fin: mon projet devient priorite numero 1, des lundi.
Ce qui implique donc plannings, deadlines, procedures, bref tout ce qui est chiant. Et que je connais pas (meme si en fait depuis lundi, j'ai fais connaissance avec Deadline... ;-) )
Maintenant, moi, ce que je veux faire pendant mon talk, c'est montrer que je suis cap' d'assurer la responsabilite de la partie R&D du projet jusqu'a la fin.
Je sais depuis un moment maintenant que j'ai fait du super bon boulot en bidouillant mon enzyme, j'aimerai -egoistement- ne pas avoir a partager les honneurs a venir...

Ouais, je sais: je suis devenu arrogant.

MaJ: bin voila. "Approved". "Les choses serieuses commencent" m'a-t-on dit... Ha bon? je fais quoi pour l'instant? Du surf?

jeudi 29 janvier 2009

Collector.

Y-E-S!
Manque plus qu'a acheter ca, j'aurai alors une super p'tite collection de jolis jouets disparus...
Yark, yark, yark...

Welcome back my love! ;-)

mercredi 28 janvier 2009

Economie de bout d'stylos.

En lisant ce post, j'ai eu un super un flash de souvenirs de mon ancien labo, en France.
"Pfff, mon labo de these, ch'suis sur qu'ils m'en auraient offert un".
Pass'que voyez vous, il se trouve que je mange mes stylos:Tous.
Tout le temps.
Et meme que certaines personnes n'aiment pas.
Alors mes collegues d'alors m'avaient offert un truc a machouiller pour bebe (le truc sur lequel ils se soulagent les gencives quand "ca pousse") pour que je cesse de bouffer les stylos du labo.
Ca eu marche.
Mais maintenant, forcement comme j'en ai plus, je me suis remis a bouffer mes stylos.
N'empeche que moi, j'y trouve plein d'avantages... Le premier: ca me defoule. Le deuxieme: ca m'evite de manger autre chose. Comme du chocolat noir (exemple au hasard). Enfin, et surtout: ca empeche les autres de me piquer mes stylos...
Dissuasion, dissuasion...

mardi 27 janvier 2009

P'tain mais c'est du taf de postdoc, ca!

7:21PM. 21h21, quoi.
Je suis ENCORE au labo. Et j'en ai encore pour -facile- une heure.
C'est la deuxieme fois ce mois-ci.
Et demain ca serait la 3eme.
La faute a cette saloperie de culture de 10L qui decolle trop doucement. Il a fallu revoir et ameliorer la pre-culture pour etre sur d'avoir assez a innoculer le lendemain, jour de fermentation.
Avec tout ca on a pris du retard sur le planning et avec la reunion de lancement de pre-production vendredi, il faut que le premier batch soit valide avant vendredi matin.
Du coup ce soir: manip' pour pouvoir faire la valid' demain pendant la fermentation.
Multitask.
A mort.
Grave.

C'est officiel, j'ai perdu toute la faineantise accumulee pendant mon post-doc.

Si avec tout ca, j'ai pas mes 5% d'augmentation, ca va chier.

Comme des mouches.

En ce moment, le nombre d'entreprises et boutiques qui ferment dans le coin est ahurissant.
La semaine derniere: Circuit city qui apres avoir annoncer en decembre la fermeture des magasins les plus faibles a finalement jete l'eponge completement. Autodesk a egalement vire 150 personnes la semaine derniere, Google pareil, Intel va encore re-alleger ses effectifs et cette semaine, Home Depot annonce la fermeture de sa branche de magasins de proximite Yard Birds (on en a un juste a cote de chez nous).
Bref partout ici, ca degage...
Je dis ici, car il semble que Californie comme a son habitude bats tout les records: On assiste pour la premiere fois a un flux negatif des personnes et le chomage depasse les 9%, du jamais vu depuis 1976.

On en discutait samedi soir entre expat', et il semblerait que y'en ait pour 24 mois.
2 ans... A ce rythme.
Plus que me faire flipper, ca me fait halluciner:
Y'a assez de boites a fermer aux US pour continuer a ce rythme pendant 2 ans? Serieusement?

Bon la bonne nouvelle, c'est que ca ira pas "plus fort"...
C'est deja ca, hien?

Et ca rigole, et ca rigole...

lundi 26 janvier 2009

Certified.

Ca y est. Premier week-end sans "maman". On a passe la qualif: on est tous vivants.
On aurait pu penser que ca partirait en vrille a un moment ou a un autre... Tu parles. Ils en ont rien a foutre.
Le grand dort dans notre chambre, mais dans son lit (nos enfants n'ont jamais dormis avec nous), puisqu'on a requisitionne sa chambre pour MamyPiou et ca lui pose aucun probleme.
Le petit va se coucher avec la meme facilite, sans broncher.
En fait, rien n'a changer.
Sales gosses.
On est vraiment bon qu'a se crever a bosser pour leur acheter a bouffer et des DVD des Schtroumpfs.
Tiens d'ailleurs, j'en ai une bonne a ce sujet... Pioupiou trouve que je parle comme celui-qui-rale-tout-le-temps.
Je devrais peut-etre changer le nom du blog: le nid du Piou grognond...

Moi, j'aime pas les Schtroumpfs.

vendredi 23 janvier 2009

Vite fait en passant.

Journee... Enfin matinee chargee car je veux pouvoir partir tot pour chercher MamyPiou a SFO.
Ceci dit, j'ai une reunion de 2 a 3PM, donc bon.
Donc je file prendre ma douche et je remonte prendre mes OD600... Pfff... La vie de "jeune" papa chercheur, c'est pas cool...

jeudi 22 janvier 2009

La vache qui pisse.

Voila:Et bin vous savez quoi?
Ca me fait PLAISIR.
Je suis CONTENT.
En esperant que va continuer un moment... Suffisamment en tout cas, pour recuperer le deficit hydrique enregistre en Decembre/Janvier...
C'est le Midwest qui va etre content: les gars, on reprend notre froid et nos precipitations!

mercredi 21 janvier 2009

Le premier samedi du mois.

Une des consequences du changement de locataire a la maison blanche sera assurement la facon dont les problemes seront abordes: scientifiquement. Ca change tout. Finie les "intimes convictions" ou les "pensees de Jesus Christ" pour decider des directions a prendre.
On en parlait dans les commentaires du post precedent.
The question we ask today is not whether our government is too big or too small, but whether it works [...] Where the answer is yes, we intend to move forward. Where the answer is no, programs will end.
Pour moi, ca change tout.
Le pragmatisme doit regner.
Point barre.
L'education sexuelle des ados sera -tout le monde l'espere- profondement revue avec le prochain abandon programme des strategies basees uniquement sur l'abstinence qui de toute facon, ont fait leurs preuves en terme d'inefficacite.

Au fait, Canal continue de passer son porno le premier samedi du mois? Nan pass'que serieux, c'etait les meilleurs cours d'educ de cul qu'on a jamais eu.

mardi 20 janvier 2009

1981, 2008 (bon et 2009 aussi...)

Sur le sondes ce matin, que du Barack Obama.
Discours, Hip-hop, rap... (vous imaginez rapper avec du Sarko, vous?).
Beaucoup de remix avec du MLK egalement.
Y'avait un morceau base sur le "I Believe" qui m'a meme vachement emu. Si, si. Meme moi j'en revenais pas.
Y'a une telle attente pour ce gars, que franchement j'ai peur des potentiels decus.
Ceci dit, j'ai l'impression que rarement un president a autant rassemble.
P'tain... En fait, c'est un peu magique, aujourd'hui.

MaJ: Le speech d'inauguration:
My fellow citizens:

I stand here today humbled by the task before us, grateful for the trust you have bestowed, mindful of the sacrifices borne by our ancestors. I thank President Bush for his service to our nation, as well as the generosity and cooperation he has shown throughout this transition.

Forty-four Americans have now taken the presidential oath. The words have been spoken during rising tides of prosperity and the still waters of peace. Yet, every so often the oath is taken amidst gathering clouds and raging storms. At these moments, America has carried on not simply because of the skill or vision of those in high office, but because we the people have remained faithful to the ideals of our forebears, and true to our founding documents.

So it has been. So it must be with this generation of Americans.

That we are in the midst of crisis is now well understood. Our nation is at war, against a far-reaching network of violence and hatred. Our economy is badly weakened, a consequence of greed and irresponsibility on the part of some, but also our collective failure to make hard choices and prepare the nation for a new age. Homes have been lost; jobs shed; businesses shuttered. Our health care is too costly; our schools fail too many; and each day brings further evidence that the ways we use energy strengthen our adversaries and threaten our planet.

These are the indicators of crisis, subject to data and statistics. Less measurable but no less profound is a sapping of confidence across our land - a nagging fear that America's decline is inevitable, and that the next generation must lower its sights.

Today I say to you that the challenges we face are real. They are serious and they are many. They will not be met easily or in a short span of time. But know this, America - they will be met.

On this day, we gather because we have chosen hope over fear, unity of purpose over conflict and discord.

On this day, we come to proclaim an end to the petty grievances and false promises, the recriminations and worn out dogmas, that for far too long have strangled our politics.

We remain a young nation, but in the words of scripture, the time has come to set aside childish things. The time has come to reaffirm our enduring spirit; to choose our better history; to carry forward that precious gift, that noble idea, passed on from generation to generation: the God-given promise that all are equal, all are free and all deserve a chance to pursue their full measure of happiness.

In reaffirming the greatness of our nation, we understand that greatness is never a given. It must be earned. Our journey has never been one of shortcuts or settling for less. It has not been the path for the faint-hearted - for those who prefer leisure over work, or seek only the pleasures of riches and fame. Rather, it has been the risk-takers, the doers, the makers of things - some celebrated but more often men and women obscure in their labor, who have carried us up the long, rugged path towards prosperity and freedom.

For us, they packed up their few worldly possessions and traveled across oceans in search of a new life.

For us, they toiled in sweatshops and settled the West; endured the lash of the whip and plowed the hard earth.

For us, they fought and died, in places like Concord and Gettysburg; Normandy and Khe Sahn.

Time and again these men and women struggled and sacrificed and worked till their hands were raw so that we might live a better life. They saw America as bigger than the sum of our individual ambitions; greater than all the differences of birth or wealth or faction.

This is the journey we continue today. We remain the most prosperous, powerful nation on Earth. Our workers are no less productive than when this crisis began. Our minds are no less inventive, our goods and services no less needed than they were last week or last month or last year. Our capacity remains undiminished. But our time of standing pat, of protecting narrow interests and putting off unpleasant decisions - that time has surely passed. Starting today, we must pick ourselves up, dust ourselves off, and begin again the work of remaking America.

For everywhere we look, there is work to be done. The state of the economy calls for action, bold and swift, and we will act - not only to create new jobs, but to lay a new foundation for growth. We will build the roads and bridges, the electric grids and digital lines that feed our commerce and bind us together. We will restore science to its rightful place, and wield technology's wonders to raise health care's quality and lower its cost. We will harness the sun and the winds and the soil to fuel our cars and run our factories. And we will transform our schools and colleges and universities to meet the demands of a new age. All this we can do. And all this we will do.

Now, there are some who question the scale of our ambitions - who suggest that our system cannot tolerate too many big plans. Their memories are short. For they have forgotten what this country has already done; what free men and women can achieve when imagination is joined to common purpose, and necessity to courage.

What the cynics fail to understand is that the ground has shifted beneath them - that the stale political arguments that have consumed us for so long no longer apply. The question we ask today is not whether our government is too big or too small, but whether it works - whether it helps families find jobs at a decent wage, care they can afford, a retirement that is dignified. Where the answer is yes, we intend to move forward. Where the answer is no, programs will end. And those of us who manage the public's dollars will be held to account - to spend wisely, reform bad habits, and do our business in the light of day - because only then can we restore the vital trust between a people and their government.

Nor is the question before us whether the market is a force for good or ill. Its power to generate wealth and expand freedom is unmatched, but this crisis has reminded us that without a watchful eye, the market can spin out of control - and that a nation cannot prosper long when it favors only the prosperous. The success of our economy has always depended not just on the size of our gross domestic product, but on the reach of our prosperity; on our ability to extend opportunity to every willing heart - not out of charity, but because it is the surest route to our common good.

As for our common defense, we reject as false the choice between our safety and our ideals. Our founding fathers, faced with perils we can scarcely imagine, drafted a charter to assure the rule of law and the rights of man, a charter expanded by the blood of generations. Those ideals still light the world, and we will not give them up for expedience's sake. And so to all other peoples and governments who are watching today, from the grandest capitals to the small village where my father was born: know that America is a friend of each nation and every man, woman, and child who seeks a future of peace and dignity, and that we are ready to lead once more.

Recall that earlier generations faced down fascism and communism not just with missiles and tanks, but with sturdy alliances and enduring convictions. They understood that our power alone cannot protect us, nor does it entitle us to do as we please. Instead, they knew that our power grows through its prudent use; our security emanates from the justness of our cause, the force of our example, the tempering qualities of humility and restraint.

We are the keepers of this legacy. Guided by these principles once more, we can meet those new threats that demand even greater effort - even greater cooperation and understanding between nations. We will begin to responsibly leave Iraq to its people, and forge a hard-earned peace in Afghanistan. With old friends and former foes, we will work tirelessly to lessen the nuclear threat, and roll back the specter of a warming planet. We will not apologize for our way of life, nor will we waver in its defense, and for those who seek to advance their aims by inducing terror and slaughtering innocents, we say to you now that our spirit is stronger and cannot be broken; you cannot outlast us, and we will defeat you.

For we know that our patchwork heritage is a strength, not a weakness. We are a nation of Christians and Muslims, Jews and Hindus - and non-believers. We are shaped by every language and culture, drawn from every end of this Earth; and because we have tasted the bitter swill of civil war and segregation, and emerged from that dark chapter stronger and more united, we cannot help but believe that the old hatreds shall someday pass; that the lines of tribe shall soon dissolve; that as the world grows smaller, our common humanity shall reveal itself; and that America must play its role in ushering in a new era of peace.

To the Muslim world, we seek a new way forward, based on mutual interest and mutual respect. To those leaders around the globe who seek to sow conflict, or blame their society's ills on the West - know that your people will judge you on what you can build, not what you destroy. To those who cling to power through corruption and deceit and the silencing of dissent, know that you are on the wrong side of history; but that we will extend a hand if you are willing to unclench your fist.

To the people of poor nations, we pledge to work alongside you to make your farms flourish and let clean waters flow; to nourish starved bodies and feed hungry minds. And to those nations like ours that enjoy relative plenty, we say we can no longer afford indifference to suffering outside our borders; nor can we consume the world's resources without regard to effect. For the world has changed, and we must change with it.

As we consider the road that unfolds before us, we remember with humble gratitude those brave Americans who, at this very hour, patrol far-off deserts and distant mountains. They have something to tell us today, just as the fallen heroes who lie in Arlington whisper through the ages. We honor them not only because they are guardians of our liberty, but because they embody the spirit of service; a willingness to find meaning in something greater than themselves. And yet, at this moment - a moment that will define a generation - it is precisely this spirit that must inhabit us all.

For as much as government can do and must do, it is ultimately the faith and determination of the American people upon which this nation relies. It is the kindness to take in a stranger when the levees break, the selflessness of workers who would rather cut their hours than see a friend lose their job which sees us through our darkest hours. It is the firefighter's courage to storm a stairway filled with smoke, but also a parent's willingness to nurture a child, that finally decides our fate.

Our challenges may be new. The instruments with which we meet them may be new. But those values upon which our success depends - hard work and honesty, courage and fair play, tolerance and curiosity, loyalty and patriotism - these things are old. These things are true. They have been the quiet force of progress throughout our history. What is demanded then is a return to these truths. What is required of us now is a new era of responsibility - a recognition, on the part of every American, that we have duties to ourselves, our nation, and the world, duties that we do not grudgingly accept but rather seize gladly, firm in the knowledge that there is nothing so satisfying to the spirit, so defining of our character, than giving our all to a difficult task.

This is the price and the promise of citizenship.

This is the source of our confidence - the knowledge that God calls on us to shape an uncertain destiny.

This is the meaning of our liberty and our creed - why men and women and children of every race and every faith can join in celebration across this magnificent mall, and why a man whose father less than sixty years ago might not have been served at a local restaurant can now stand before you to take a most sacred oath.

So let us mark this day with remembrance, of who we are and how far we have traveled. In the year of America's birth, in the coldest of months, a small band of patriots huddled by dying campfires on the shores of an icy river. The capital was abandoned. The enemy was advancing. The snow was stained with blood. At a moment when the outcome of our revolution was most in doubt, the father of our nation ordered these words be read to the people:

"Let it be told to the future world ... that in the depth of winter, when nothing but hope and virtue could survive...that the city and the country, alarmed at one common danger, came forth to meet (it)."

America, in the face of our common dangers, in this winter of our hardship, let us remember these timeless words. With hope and virtue, let us brave once more the icy currents, and endure what storms may come. Let it be said by our children's children that when we were tested we refused to let this journey end, that we did not turn back nor did we falter; and with eyes fixed on the horizon and God's grace upon us, we carried forth that great gift of freedom and delivered it safely to future generations.

lundi 19 janvier 2009

MLK day...

... Au boulot!
Bah oui.
Cette annee, la boite nous donne President's day a la place, dans quelques semaines. Discret clin d'oeil a mon avis. Notez par ailleurs, que c'est le dernier jour du 43eme president aujourd'hui. C'est curieux d'ailleurs comme tout le monde s'en fout. C'est a croire qu'il n'existe plus. Le jour de ses "adieux" televises, y'en avait que pour le pilote de l'Hydravion, la (p'tain d'ailleur quand on y pense, c'est enorme). Quasiment aucune chaine n'a retransmis sa conference de presse, tout le monde n'a d'yeux que pour l'Airbus de l'Hudson. Comme quoi le Karma...
Enfin bref. Du coup aujourd'hui donc, je bosse.
Et ca m'arrange: j'ai une reunion de lancement de project a la fin du mois, je prefere avoir une journee de plus pour bosser dessus. En meme temps, jusqu'ici, tout va bien. Meme si les reunions s'enchainent a vitesse grand V et qu'a chaque fois, j'en ressort avec plus de boulot a faire que de resultats presentes.
Cote maison, le week-end a ete plutot speed pass'que P'titPiou a ete super super ronchond tout le week-end. Dur, un p'tit bonhomme qui rale et pleure tout le temps. La faute aux canines?
Vendredi soir a s'est fait une soiree famille avec les Corses et franchement, on s'est bien marre. Ca faisait un moment qu'on s'etait pas autant marre.
Moi, je ne fais que relever une coïncidence troublante: a chaque fois que les nanas sont pompettes, on se marre comme jamais!
Mais bon, c'est p'tet un hasard...
Samedi soir, diner chez un des mes premiers lecteurs. Si. Histoire un peu bizarre d'un gars qui decouvre mon blog en 2005, puis disparait de la region pour y revenir en 2007, pour realiser que la maitresse de sa fille est MmePiou. Dingue, non?
Encore une bonne soiree, avec en prime, une decouverte qui tue pour Pioupiou: les Schtroumpfs!!!!
Et enfin dimanche, apres une journee balade le long de la Bay, et pass'qu'on en pouvait plus (j'exagere un peu, ok): soiree cine en amoureux avec nounou a la maison.

Des fois, faut juste savoir appuyer sur pause.

samedi 17 janvier 2009

Le bouffon.

Certains l'auront remarque (d'autres pas) mais depuis peu, j'ai change la facon de me joindre sur le blog: J'ai cree un pop-up "pour me joindre" sur le bandeau de droite. 
Et j'ai ferme l'adresse email que j'utilisais dans mes commentaires sur le net. Pourquoi?
Eh bin il se trouve que la chemise brune d'Okinawa* s'en sert pour vomir ses conneries sur le web en signant "Le Piou, un expatrie au US" et en donnant mon adresse email pour me joindre.
Je savais qu'en me foutant ouvertement de sa gueule il y aurait peut-etre des consequences, le web etant l'outil de vengeance anonyme parfait pour ce genre de personnes.

J'imagine meme tres bien ce blaireau -qui continue de temps en temps a venir sur mon blog pour en rajouter une couche**- ou ses acolytes, fiers comme tout, en postant leur premier commentaire en usurpant mon identite: "ca, ca va bien le faire chier le gauchiste de merde". 
Et c'est la que je me marre: Les mecs, je m'en fous! 
Vous m'avez pourri une adresse email anonyme.... Whaouuuu, vous etes forts! 
C'est une adresse email, c'est tout. 
Elle a ete changee***, et elle le sera encore si besoin est... Franchement, vous etes risibles. Risibles et stupides: bonjour le cocktail!

Vos idees ne vous suffisent pas, faut en plus que vous soyez incapables de les assumer... Meme "caches" online. La honte.

Ceci dit, pour ceux qui veulent plus de details non pas sur ces charlots mais plutot sur les gens qui les combattent, allez faire un tour sur ce site

*: C'est fabuleux le trackage des adresses I.P.
**: Et puis alors le nettoyage des commentaires... Si tu crois qu t'es le premier a spamer ici... J'ai l'habitude de ces gamineries.
***: Avec en plus une petite explication.

vendredi 16 janvier 2009

Mortel, ca!?

Comme je suis paye tout les 15 jours, Janvier est un peu magique cette annee.
J'ai ete paye le 2, aujourd'hui et je le serai egalement le 30.
C'est mortel.

jeudi 15 janvier 2009

Le chant du cygne?

Allez avant de partir, l'administration US en place nous fait un dernier petit coup de French-Bashing selon le Monde: Ils augmentent les taxes d'importation sur le Roquefort.
"Oui mais".
Seul produit à faire l'objet d'une telle mesure, le fromage de lait de brebis produit exclusivement en France subit les répercussions de l'interdiction du boeuf aux hormones américain en Europe.
Deja le "journaliste" precise bien que c'est en mesure de retorsion face a l'interdiction du boeufs aux hormones Americain... Bon. Sur ce sujet, perso -et ceux qui sont venus ici le savent eaglement- le boeuf US est absolument delicieux. Rien a voir avec le mythique steack aux hormone dont on m'avait garanti qu'il etait gorge d'eau, qu'il devenait caoutchouteux a la cuisson, et qu'il avait pas d'gout.
Donc forcement, je reste dubitatif face a cette soit-disante mesure de protection sanitaire qui consiste a en interdire la vente en Europe... J'y vois plutot sincerement une simple mesure protectionniste, mais bon*.
Ensuite, le meme journaliste annonce sans rougir:
Le reste de la liste mise à jour avec des produits des nouveaux membres de l'UE comporte toutes sortes de denrées dont les droits de douane s'élèvent désormais à 100 % : des viandes, des fruits et légumes, des champignons, des céréales, des chewing-gums, du chocolats, des châtaignes, des jus de fruit, des eaux minérales et des graisses
Ha? je croyais que seul le Roquefort etait vise... Ha bah oui forcement ca sonne mieux si les "Ricains se vengent sur les produits Francais".
Bonjour le professionnalisme.

Franchement, OK: l'administration Bush est certainement la pire a avoir jamais ete mise en place au monde, mais la a ce qu'on soit oblige de rajouter une couche de "les mechants Americains contre les gentils Francais"...

*: Et a la limite pourquoi pas, si c'est ce qu'il faut pour sauver la filiere bovine Europeenne, pourquoi pas... Mais qu'on le dise clairement et qu'on accepte sans broncher les mesures de reciprocites.

Nous partimes 500...

Tiens j'avais pas note, mais lundi, ce blog a franchis le cap des 400000 visites...
Ca en fait des clicks quand meme...

Ne le prenez pas mal, hein, mais j'echangerai bien tout ces clicks contre un seul de celui qui aurait eu 65 ans aujourd'hui.

mercredi 14 janvier 2009

Le poil dans la main plutot que sur la tete.

Je viens de piger le pourquoi du comment.
En fait si j'ai pas de cheveux (enfin pas trop, apres mon fils va se mettre a raconter des conneries a la recre), c'est pass'que j'ai l'annulaire trop long:Voila: trop plein de testosterone.
Ce qu'ils disent pas, par contre, c'est si je coupe mon annulaire, est-ce que mes cheveux repousseront?
Nan, c'est juste pour savoir, quoi...

mardi 13 janvier 2009

Faute.

Parlons un peu de choses serieuses.
Samedi apres-midi, une belle blonde est venue a la porte de la maison.
Belle femme, serieusement.
Tres Marin, avec ce blond peroxyde typique que je critique souvent, mais classe et vraiment jolie. Honnetement, j'ai bien flashe dessus.
Physiquement, j'entends: elle m'a beaucoup plu. Beaucoup.
Quand j'ai realise que cette "nouvelle tete" allait rester un moment dans le coin, j'ai prefere dire franchement a MmePiou ce qu'il en etait.
Et bien sur, on est pas du meme avis. MmePiou la trouve trop Marin-Barbie et comme en plus elle conduit un gros SUV noir, j'ai eu droit a la remarque cinglante sur le cliche qu'elle deteste et que je critique tout le temps.
Bien sur, je comprends sa reaction, je me doute que c'est pas facile a accepter, mais d'un autre cote, j'y suis pour rien, moi: j'aime, c'est comme ca.

J'ai donc dis a MmePiou qu'il fallait s'y habituer, qu'on allait pas divorcer pour ca, quand meme: on est des adultes, et que peut-etre il faudrait qu'elle s'habitue a la situation, a vivre avec elle?

Je crois qu'a court terme, c'est un peu la seule solution, et puis si vraiment ca marche pas, a la limite, elle pourrait peut-etre essayer de reteindre ces meches platines en plus fonce? Ou aller chez un autre coiffeur la prochaine fois, non?

lundi 12 janvier 2009

Printemps d'hiver.

75F aujourd'hui a San Rafael. Du jamais vu depuis 1948.
C'est bien simple, je suis rentre aujourd'hui du boulot cheveux au v... OK, crane au v... Voiture decapotee, quoi!
Du bonheur pur.
Le revers de la medaille, c'est que les pluies qui devaient couvrir le deficit hydrique de l'ete dernier ne sont pas arrivees: on a eu un Decembre tres froid, mais surtout tres sec dans son ensemble. Et Janvier est completement catastrophique.
Si ca s'arrange pas, on va etre mal, mais alors mal, cet ete...

dimanche 11 janvier 2009

Paroles de gosses.

La semaine derniere, TataPaca a intercepte une discussion super serieuse de la bande de Pioupiou, a la recre.
Un copain: "Vous savez, mon papa est tellement gros que maintenant il va faire du sport le soir en rentrant du travail".
La, Pioupiou repond (je le laisse en VO, c'est plus drole): "Well, you know what? My dad doesn't eat on week days. He starves all week long. But the week-end, he eats A LOT!, see?"

Alors bien sur, je vous le dit net: je mange en semaine. Je sais pas ou il est alle chercher tout ca (par contre, c'est vrai que le WE, je me lache). Avec MmePiou on se demande donc, si c'est de la tchatche ou si c'est pass'qu'un jour, il a du entendre MmePiou me lancer un "et apres, tu vas plus rien manger de la semaine, t'es chiant avec ton regime!"

Ceci dit, pas bouffer en semaine, niveau regime, c'est peut-etre pas une si mauvaise idee que ca... ;-)

samedi 10 janvier 2009

L'age de raison?

Vous savez ce qu'on perd avec l'age? Ses reflexes. 
Passes 30 berges, on cogite trop avant de prendre une decision: consequences de la reponse, proportions, reponse adaptee ou non... 

Bref beaucoup de conneries.

Mais en fait, pour moins de la moitie de ca*, y'a 10 ans, je lui* aurais retourne le genoux et fait manger le sable.

Ni plus, ni moins.

Y'a que les Bourgognes qui se bonifient avec l'age...  

*: les details importent peu finalement.

vendredi 9 janvier 2009

Movie Star

Pas moi.
Ni mon produit (pas encore. MaJ: En fait si, puisque le film n'est pas pour le premier produit qui va sortir prochainement, mais pour toute "la gamme", dont mon mastermix avec MON* enzyme).
Mais hier dans mon labo, a ma paillasse, la prochaine video virale de ma boite a ete tournee... Ca sera notre principale pub pour un nouveau produit que mon labo sort.
Impressionnant a voir un tournage.Par contre, pour cause d'anonymat (et meme si je suis pas dessus, mais j'ai pas trop envie qu'on sache ou je bosse), je mettrai pas la video sur le blog des sa sortie...
Je la balancerai seulement aux copains via email et probablement sur mon profil Fesse-bouc.
Voila.

*: j'insiste sur le MON-A-MOI. Pour une fois que j'ai materiel a me la jouer pour de vrai: de A a Z, le protein engineering de ce truc ET la formulation: c'est de moooooOOOOOOAAAAAaaaa.

jeudi 8 janvier 2009

Clandestino

Tiens, je viens juste de realiser une chose qui est suceptible d'interresser les potentiels futurs boulets: a partir du 12 janvier, faut se pointer aux US avec une authorisation electronique de voyage.
Bha oui.
Pour s'inscrire, c'est la, et c'est a faire 72h minimum avant le depart...

Enjoy.

My C-T is gonna to explose...

Suite a la bavure d'un des flics du BART, des emeutes ont eu lieu a Oakland la nuit derniere.Je n'aurai pas releve ce fait divers si les images des emeutes ne me rappellaient pas celles qu'on voit habituellement en France.
Non pas que ce soit un sport national en France, mais plutot pass'que je ne pensais pas que les polices locales et leur reputation de cowboys laisseraient -contraintes et forcees- faire...
Naivement, je croyais pas ca possible:
Je veux pas paraitre trop fleur bleue, mais franchement ces images me choquent, mais sans me surprendre...

mercredi 7 janvier 2009

Hello sir, my name is Jean!

Je lisais sur le Blog d'un expat' Americain en France: depuis le 4 Novembre, il est a nouveau "cool" d'etre un Americain en Europe. J'ai pas de peine a le croire, le Guignol se dirigeant vers la sortie, on peut esperer que personne ne pourra faire pire...
Mais, il y a aussi le revers -le bon, pour une fois- de la medaille: c'est aussi a nouveau cool d'etre Francais, ici, aux US.
Bon certes, dans la Bay, ca l'a toujours ete... Plus* ou moins. Mais la, je note plein de petites choses un peu partout dans les medias qui prouvent que l'etat de grace est revenu: on parle beaucoup de cuisine Francaise, les petites expressions florissent partout dans les articles de la presse ecrite (exemple la... Pourtant comme vous voyez, c'est pas tres culturel comme article), et meme les petits pieges mediatiques semblent tourner a l'avantage des Francais.

Camarades** Expats aux US: le sentez vous egalement?


*: la fois ou on a ete felicites dans le rue pour etre Francais, a cause de l'oppposition a la guerre d'Irak restera dans mes memoires
**:Eh ho, je suis gauchiotte, moi maintenant...

mardi 6 janvier 2009

Chemise brune.

J'ai longtemps hesite avant de faire ce post, mais voyant que j'etais pas le seul a l'avoir recu, je me suis dit qu'une mise au point devait etre faite... Et puis ceux qui lisent les commentaires n'ont pas du comprendre grand chose a ca...
Alors voila ce qui a ete poste lundi soir, sur mon blog:
Cher compatriote,
C'est avec plaisir que je découvre votre sympathique blog, étant moi-même un Français expatrié.
Je me permets de laisser un petit commentaire pour vous faire découvrir des actions en faveur de la préservation de l'identité française.
Nous sommes, vous et moi, à notre niveau, les représentants de la France à l'étranger et, d'une certaine manière, son image et son esprit. Alors pourquoi ne pas être également sa voix ? Cette voix c'est la vôtre, la mienne, la nôtre, celle de la raison.
Une voix faite pour clamer haut et fort notre attachement à notre pays.
Par nature, nous, les expatriés, sommes ouverts sur le monde, nous découvrons d'autres cultures, d'autres civilisations, nous avons une vision du monde souvent bien différente de nos compatriotes de l'hexagone. Nous respectons la loi, les coutumes et les rites des pays qui nous accueillent, nous n'y imposons pas notre mode de vie , nos traditions ou notre religion.
Nous n'avons comme revendication légitime que celle de vivre en symbiose avec le pays qui nous héberge.
Alors, cher compatriote, comment supporter plus longtemps la régression de la France, la perte de son identité et de ses valeurs ?
Allons nous rester amorphes, les paupières closes, la mine basse, sans réagir ?
Hé bien non ! Il n'est pas trop tard pour agir. Votre voix, additionnée à d'autres voix, peut tout changer.
Les ACTIONS SITA sont là pour le démontrer.
Vous pouvez simplement participer aux ACTIONS SITA, ou créer un blog d'ACTIONS SITA et rejoindre notre petit groupe, qui monte, qui monte, qui monte...

Tapez simplement ACTIONS SITA sur google, vous verrez.

ACTIONS SITA est un mouvement apolitique, à but non lucratif, ayant pour base la totale indépendance de chaque participant.

Cher compatriote, vous êtes et serez toujours le bienvenu parmi les membres d'ACTIONS SITA.

Un Français expatrié au Japon
Fabrice Martin
Loin de la l'envie de faire de la pub a ce genre de mec, ceci dit, je peux pas m'empecher de me dire que franchement au de-la du discours debile qui en ressort et de leurs actions SITA-pas-d'cerveau a la con, ce genre de prose est completement ahurissante... C'est clairement du flan de a a Z. Comment croire qu'un mec vivant au Japon puisse proner le respect des coutumes et des rites locaux... Ca me fait bien marrer. Tu bouffes avec des baguettes chez toi?
A mon humble avis, par essence, l'expat' cherche a reproduire SON pays, SES coutumes dans le pays qui l'acceuille: je vais pas boire de la Bud' pour faire local, ni bouffer quotidiennement aux fast-foods ou boire du Coca au gallon, et au fromage, je passe sur le Cheddar et autres coutumes/habitudes typiquement Americaines.
Bin non.
J'importe moi-meme mon saucisson, mon foie gras, je ne bois que du vin rouge Francais ou de la Heineken (pas Francais, mais on fait comme on peut, hein), mange du claquos President et boit de la Perrier.
Je vis aux US certes, mais j'y defendrai toujours MES valeurs, MES coutumes. Pas question de rentrer dans leur moule.
De toute facon, entendre un mec qui soit disant vit a l'etranger (rhoooo le coup de l'email en Yahoo.com.jp, j'en rigole encore...) ne pas comprendre les etrangers de France est un non sens complet.
Maintenant la preservation de l'identite Francaise que ce genre de mec prone, c'est ni plus ni moins que du WASP-franco-gaulois. Son probleme, n'est d'ailleurs pas l'Islam: Noooon... Son probleme c'est les Arabes... Et l'Islam a bon dos dans sa croisade. Soyons honnete, il croiserait un Copte, il le traiterait de d'Islamiste...
De toute facon, franchement, m'appater avec des valeurs religieuses...
Mais si le concept du black-blanc-beur te derange "Fabrice", c'est con pour toi, moi, ca me va.
Ma France, c'est la republique. Liberte. Egalite. Fraternite. Je te laisse les "Travail, famille, patrie".

Je suis Arabe, noir, latino, jaune, vert, hetero, pede, jeune, vieux, laique, athee, emigre, immigre, de souche... Et Francais.
Et j'espere que ca te fait bien, bien chier... Toi et tes potes.




MaJ: P'tain, je contaste que l'ensemble des blogs de ma blogliste ont recu ce commentaire (je viens d'en chechker 10 au hasard, tous sont "verroles") dans leur post de lundi/mardi.
Mes excuses si je suis a l'origine de la contamination... (bon ceci dit, c'est peut-etre l'inverse, hein, je suis pas le centre du monde... ;-) )

Riches deconneurs.

On a vu des bagnoles bizarres a Berkeley (l'embleme de ce blog par exemple). C'etait meme devenus tellement courant, que je les voyais meme plus.
Il m'aura fallu quelques piqures de rappel (une p'tite course a Berkeley) pour realiser a quel point Berkeley est special.
Ceci dit, j'ai eu trod de dire que Marin County est un Barbie world. C'est pas vrai. Y'en a aussi, ici, qui deconnent a fond:
Sauf qu'eux c'est avec des BMW 335 coupe neuves (notez bien, que y'a pas que le nez rouges... Y'a aussi les bois de rennes).
Chacun son truc, quoi. Nan, mais laissez tomber, on est pas du meme monde...

lundi 5 janvier 2009

Chatie.

Parfois, sans dec', j'ai des joies simples.
Super simples.
Pas super faciles a trouver certes, mais techniquement, elles sont simples.
Le meilleur exemple:Bah oui.

vendredi 2 janvier 2009

A l'eau.

Allez sans dec', on arrete de parler de bouffe maintenant...

Remarquez, ca va pas etre facile avec les 2 galettes de rois prevues pour ce WE.
Nan, mais serieux... S'ils se liguent maintenant aussi...

jeudi 1 janvier 2009

Ouais: tout ca, meilleurs voeux, sante and co.

Voila que tout le monde trouve son bonheur en 2009.

PS: revez pas, c'est un post pre-enregistre... La, je suis occupe!