mercredi 25 juillet 2007

J-7

Dans une semaine Bye-bye Berkeley. Ce qui veut dire, en tenant compte des prejuges qu'on peut -legitiment- avoir sur San Rafael:
- Plus de bouffe hebdomadaire chez notre petit Jap' prefere.
- Plus de dim-sum "to go" a prix defiant toute concurrence...
- Plus d'Oscar's.
- Plus de Thai, ni la multitude de resto indiens a 2 blocks de chez nous.
- On perd l'Andronico's du coin, qu'on troque contre un Safeway "pas top" (definition d'un Safeway top: celui de Terra Linda ou de Mill Valley).
- On perd le Berkeley Bowl. Ca, c'est une grosse perte...
- On perd le Tokyo Fish Market.
- On perd le Cheese Board, meme si on en a pas vraiment ete de gros clients...
- On perd Acme Bread et son pain tout frais...
- On perd le park en face de la rue, meme si c'est pas tres grave vu qu'on en recupere un pres de la nouvelle maison. Bon, il aura pas le meme charme...
- On va surtout perdre l'occasion de voir Tango et Miss Tango aussi souvent et aussi simplement qu'un "on s'fait une bouffe ce soir?"
- Dans le meme genre, on aura plus les visites de La Routarde de passage a Berkeley pour ses lecons de Tango Argentin (je precise que je parle bien de la danse par de Tango lui-meme... Nan, pass'que Chantal Lauby, elle parlait de Jim, pas de Gym...)
Bon en meme temps, fini:
- Les p'tits cons qui passent en bagnole a fond dans la rue (y'a un flic tout les 3 metres a San Rafael)
- Les p'tis cons qui ecoutent du Hip-Hop a fond les basses dans leur bagnole sur le parking de l'eglise (a San Rafael, les djeuns n'ecoutent pas du rap, mais du classique).
- Les bagnoles pourries du voisin qui squattent 3 places dans la rue (on aura notre propre place de parking devant le garage, et puis dans notre quartier y'aura que des Porsches et des BMW)
- Les coups de telephone a la con: on prendra pas de ligne fixe a la maison, donc plus de telemarketing-a-la-mords-moi-le-noeud!
- Les deposes de Pioupiou en velo a la creche. MmePiou prendra a charge tout ca. En meme temps, j'aimais bien avoir mon moment Pioupiou, moi: il me montrait des trucs, on papottait de choses et d'autres (surtout d'autres d'ailleurs, pass'que c'est pas toujours tres tres clair ce qu'il me racontait le matin)
- notre clodos a nous a qui on disait bonjour tout les matins sur le chemin... Finis LES clodos d'ailleurs...

P'tain, Berkeley va me manquer. People's republic of Berkeley...

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