J'etais en Iowa la semaine derniere.
3 jours a auditer un fournisseur.
C'etait sympa, en fait.
Je m'attendais a serieusement me faire chier, mais en fait, non, c'etait tres sympa.
Et puis une fois le premier contact etabli avec les locaux, on s'est vite rendu compte qu'on avait pas a s'inquieter pour la qualite des trucs qu'ils nous vendent, donc, tout le monde a ete relax des le debut.
On est sorti avec les gars de la compagnie, on a bien bu (local, meme. mais bon le bourbon local est vraiment degueulasse) et bien mange aussi (local, aussi):
Je me suis permis un ecart en ayant un Chicken Fried Steak, la specialite du coin (en gros un steack frit comme le serait du poulet, avec l'immonde gravy-desssus)
Bref c'etait bien.
Et puis 2 nuits a l'hotel ca veut dire 4 bains... (J'ai plus le temps de prendre de bain a la maison. Juste des douches. Donc j'en ai profite matin ET soir).
Le truc moins sympa par contre ca ete l'annonce par ma chef de l'impossibilite de me donner la promotion que j'ai demande.
Et ca m'a vraiment fait chier.
Pass'que je sais que je la merite.
Et eux aussi, d'ailleurs.
En meme temps, j'ai du mal a analyser le "next year, surely" qui m'a ete donne...
J'ai vraiment l'impression que sans se foutrent -ouvertement- de ma gueule, ils me baladent.
J'aime pas qu'on me balade.
Il est temps d'aller voir ailleurs.
De toute facon, j'ai l'impression que ca moisi grave ici, depuis quelques temps...
2 commentaires:
coucou, je lis entre tes lignes, je comprends ta déception, mais warning, dear, des jobs comme le tien, ça ne court pas les rues - enfin, j'insiste lourdement : actuellement, aus States, les jobs comme le tien, le mien, le nôtre, le vôtre et même le leur, ça court pas les rues. Alors, quand on en tiens un, on se le serre contre soi et on se le garde.
Je dis ça... c'est parce que je sais que parfois, sur un coup de colère, et avec la terrible riposte francaise à la clé, on aimerait bien "accrocher le bonhom' sur le paratonnerre.. on voudrait, on 'peut pas... " C'est une très jeune fille qui chantait cela et t'étais mêm' pas née ... :)
Garde l'oeil sur les inegalités, et les différences de comportement, (salaires, schedules) Ce sont les deux points vuln♪0rables de l'entreprise am♪0ricaine, les deux points sur lesquels un/une employé/e peut faire pression sur l'encadrement.
Avec infiniment de doigté.
Bisous de NY, you know I♥NY
Ben, oui, patiente, et profite de tout ce que tu peux apprendre encore sur place ... les bons jobs sont rares partout en ce moment !
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